Narguana

 
Nargana : la "grande ville" des San Blas  
Deux îles côte à côte, à quelques centaines de mètres de la côte panaméenne recouverte de forêt, sont reliées par un pont. Là les indiens kunas vivent dans une surpopulation surprenante dans ces contrées si sauvages et désertes.

 

Vue de l'extérieur, la ville présente une façade d'une tristesse désolante.

 

 

 

Les petites cabanes sur l'eau sont les toilettes... baignade déconseillée à proximité du village !

 

 

La plupart des habitations sont encore faites de bambous et de toits de palmes... même si l'antenne télé témoigne de l'invasion de la modernité !

 

Un groupe électrogène alimente le village en électricité. Quant à l'eau, elle provient des rivières de la côte et arrive par un tuyau sous-marin.

 

 

L'intérieur du village est beaucoup plus coquet et aéré. Les rues sont assez larges et très propres...

Evidemment aucune voiture ici, ni même de moto ou de vélo !

 

 

 

La plupart des habitations sont encore faites de bambous et de toits de palmes... même si l'antenne télé témoigne de l'invasion de la modernité !

 

 

 

 

Un groupe électrogène alimente le village en électricité. Quant à l'eau, elle provient des rivières de la côte et arrive par un tuyau sous-marin.

 

 

 

Les bâtiments publics sont en dur : école, banque... ainsi que quelques maisons ici et là dans le village.

 

 

 

 

Le basket est le sport national aux San Blas. Chaque village a son terrain et les jeunes s'entrainent sans relâche. Nous vivrons la finale quelques jours plus tard à Nuduldup.

 

 

Les indiens  vaquent calmement à leurs occupations, le sourire aux lèvres. Tous nous font un "ola" en nous croisant. Les enfants jouent dans les rues et me demandent de les prendre en photo.

 

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