Coco Bandero

 
Coco Bandero : mes îles coup de coeur !

 

 

 

 

 

 

Nous mouillons au milieu de trois petites îles désertes...

et c'est le coup de foudre pour cet endroit magique !

 

 

 

 

 

Deux de ces îles sont "investies" par les marins. L'une par les italiens et l'autre par les anglophones. Chaque "clan" entretient "son" île en brûlant les déchets qui se déposent sur la plage et a installé un coin barbecue.

 

Sur l'île des italiens un puits offre de l'eau douce  pour la lessive et le nettoyage des bateaux.

Les italiens se retrouvent chaque fin d'année pour le réveillon ... j'en rêve ! Je reviendrai, c'est certain.

 

 

 

 

Les anglos se retrouvent chaque soir pour le thé. Ils jouent aux dominos tels les pensionnaires bien sages d'une maison de retraite...

 

 

 

 

 

 

Au bout de l'île "italienne" une langue de sable est battue par les vagues qui arrivent de chaque côté.

 

A proximité les fonds sont rocheux et recèlent des trésors. J'y découvre un gros poisson perroquet multicolore.

 

 

 

 

 

 

La "piscine" sous le vent est fabuleuse... plage (propre) de sable doré très fin bordée de cocotiers et autres arbres qui abritent ces sortes de merles siffleurs et les pellicans. La pente est douce et l'eau limpide d'un bleu divin. Quelques vagues viennent balayer la plage. Les pellicans chassent : ils virevoltent au dessus de nos têtes et nagent à proximité. Personne à perte de vue... Au loin un minuscule îlot... Vous avez dit "bonheur" ?

 

 

 

 

 

Nous rencontrons Enzo et Rita, charmant couple d'italiens qui navigue depuis 25 ans et vient se reposer ici entre deux aventures marines. Chaque soir ils font le tour de "leur" île au soleil couchant, main dans la main...

 

 

Ils nous initient à la pêche au filet. Une moustiquaire entre deux bâtons fait l'affaire et permet de capturer les alevins par centaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous allons faire quelques photos sur un minuscule îlot - archétype de l'île déserte - à quelque distance du mouillage. Le temps de prendre trois clichés, nous voyons l'annexe dériver seule au loin. Impossible de la rejoindre à la nage. Nous faisons de grands signes et surtout de grands cris et - oh miracle ! - Enzo et Rita volent à notre secours. Nous avons failli jouer à Robinson Crusoë pour de bon !!!

Laissez moi vous montrer ces îles enchanteresses...

 

 

 

   
   
   
   
 

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